L’amitié, suite

Les voilà presque toutes réunies : FADAG

Elles s’étaient données rendez-vous chez D pour partir ensemble au restaurant pour fêter Noël. Quand A ( bon il y en a deux, mais peu importe ) quand A arriva avec son scooter, le concierge des lieux décida de montrer que c’était lui le chef. Il nous expliqua que le pied du scooter formait un trou sur le goudron et qu’en plus, le dit scooter se trouvait devant une porte d’une importance extrême. Bref, A dû déplacer son scooter et le mettre… sous la pluie ! La soirée commençait fort.

Bon après quelques minutes de voitures ( non elle ne tomba pas en panne, ce n’était plus une twingo 🙂 ) elles arrivèrent à destination. Elles avaient réservé une table pour 5. Le serveur les conduisit à cette fameuse table, mais A ( l’autre cette fois ) ne la trouva pas à son goût : trop serré et une table rectangulaire pour 5, pas terrible. Alors comme elles étaient toutes d’accord, elles demandèrent une table ronde. Comment refuser une telle demande, la table fut dressée en un clin d’oeil, et les filles s’installèrent.

La commande : petit rappel; 5 filles c’est compliqué! Alors la commande ressemblait à cela : ” tu crois que je peux prendre ce menu mais avec ça plutôt qu’avec ça ?” ” tu crois qu’on peut changer le dessert si on prend ce menu ?” Quand le serveur arriva, elles commandèrent 5 menus ( pas toutes le même ) et il semblerait avec une spécialité pour chacune. Alors déjà qu’elles avaient fait bonne impression avec l’histoire de la table, en plus elles se permettent de changer la carte. Impossible de passer une soirée discrète! Mais la discrétion n’était pas au programme. 

Non pas très discrète les filles. Surtout qu’arriva le moment d’aller au petit coin. “… les filles vont aux toilettes à deux…” ( chanson de Garou très connue des filles ) A et A se levèrent et essayèrent de trouver ces fameuses toilettes. A ouvrit une porte et là fous rires, elles tombèrent sur le vestiaire des hommes, pas de bol, il n’ y avait “qu’un vieux” bien dodu en culotte. A n’osa plus ouvrir de porte, heureusement A ( pas facile à suivre…! ) trouva les toilettes des dames. En retournant s’assoir, elles croisèrent le “vieux bien dodu” cette fois-ci habillé. Bien sûr cette histoire provoqua quelques fous rires. Après avoir bien faire rire le personnel également, elles payèrent l’addition et rentrèrent chacune chez elles. FIN

Une réponse à L’amitié, suite

  1. Gaëlle dit :

    Elle était bien sympa cette soirée quand même et qu’est ce qu’on a bien rit…
    Je me réjoui déja de notre repas de noël de cette année. Nous connaissons, je pense que notre discretion sera au rendez-vous. enfin on verra…

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